Un nom pas possible pour une idée simple
Le NaNoWriMo (contraction de National Novel Writing Month, parce que c’est vrai que c’est un peu long à écrire), c’est un événement qui revient tous les ans le 1er novembre : au premier coup de minuit, tout autour du globe, des dizaines de milliers de participants délaissent leur costume d’Halloween et endossent leur panoplie de romancier.
https://www.madmoizelle.com/nanowrimo-presentation-69829
Ce qui dans l’esprit NaNo correspond à peu près à une tenue de ninja assortie d’un grand mug de café. Car il s’agit d’écrire, en un mois, 50 000 mots d’un roman. Pour vous donner une idée, c’est l’équivalent d’environ 175 pages en format poche.
Le but de cet événement est de coucher des mots sur le papier, d’écrire sans relire, d’avancer contre vents et marées. Une fois le Nano (diminutif affectueux de NaNoWriMo) terminé, bonjour les crises de larmes lors de la relecture. Pourtant, le texte sera là, prêt à être amélioré. Il existe plusieurs variantes de ce défi et une autre session en avril.
Pour participer, il suffit d’avoir un compte sur le site officiel et de noter scrupuleusement sa progression qui est ponctuée de badges et de conseils. Il est possible d’inviter des amis pour se motiver. Cette année je me suis jointe à un groupe d’auteurs d’Etherval et j’ai mis un objectif que je pensais atteignable : 5’000 mots dans le but de progresser dans l’écriture des chapitres de mon roman Anonymat Mortel.
Alors… j’ai réussi ou pas ? Vous le saurez en visitant ma page sur le site du NanoWrimo ou en lisant la prochaine actualité sur le sujet.